Ce que comprennent les femmes
Je viens d’acquérir un livre fort intéressant sur les relations hommes femmes car le but est de me documenter le plus possible sur elles afin de les connaître.
Désolé pour les droits de copyright.
Le passage ci-dessous concerne la partie « fiançailles » donc à ne pas utiliser en séduction (ça ferait plutôt AFC) mais c’est pour illustrer un peu la logique féminine, je trouve ça intéressant
Je souhaite donc vous faire partager ma trouvaille de la p145 du livre « Mars et Vénus se rencontrent » :
« [...] Lorsqu’un homme fournit une explication logique, il tient pour acquis que sa compagne retrouvera aussitôt sa sérénité…mais il obtient l’effet opposé ! Elle conclut en effet qu’il refuse tout droit de s’énerver. Or sur Vénus pour que quelqu’un se sente mieux, il faut auparavant avoir l’impression que son partenaire comprend ses motifs de courroux.
Inutile d’attendre qu’elle accepte votre argument sans broncher ; elle a d’abord besoin de discuter de ses émotions. Elle veut qu’on la comprenne ; après seulement, elle sera disposée à pardonner.
Une bonne excuse ne l’intéresse guère : elle préfère constater que l’autre saisit l’ampleur de son agacement.
Voici quelques exemples d’explications martiennes et la façon dont les Vénusiennes pourront y réagir :
Il dit :
« Je suis désolé d’être en retard. Il y’avait un terrible accident sur le pont et beaucoup de circulation. Je suis resté coincé pendant des heures derrière un gros camion. Il faisait une chaleur intenable… »
Elle entend :
« J’ai une bonne raison d’être en retard, donc cela ne devrait pas te mettre dans tous tes états. Tu devrai plutôt être contente que je sois enfin arrivé »
Il dit :
« Je suis désolé de m’être emporté contre toi, mais tu t’es montrée tellement critique…tu as dit que… »
Elle entend :
« Tu m’as critiquée sans ménagements ; c’est toi qui étais en faute ! C’est toi qui devrai t’excuser »
Il dit :
« Je suis désolé de ne pas t’avoir rappelée. J’ai eu un travail fou. Si tu savais le peu de temps qu’on m’accorde pour terminer ce projet : je ne sais pas comment je vais m’en sortir… »
Elle entend :
« Tu ne devrai pas m’en vouloir. Au contraire, tu devrais plutôt me plaindre. J’ai tellement de soucis au bureau… »
Il dit :
« Je suis désolé d’avoir oublié de passer prendre des billets pour le concert de l’orchestre symphonique, mais il fait tellement beau que j’ai pensé que nous pourrions plutôt sortir faire de la voile. Après tout, c’est la meilleure saison pour la voile… »
Elle entend :
« Tu n’a aucune raison de m’en vouloir. Mon choix devrait te convenir »
Il dit :
« Je suis désolé de t’avoir momentanément abandonnée pendant la soirée. Je ne pensais pas que tu te sentiras délaissée. Je discutais avec de vieux amis et je n’avais aucune intention de te blesser. Je pensais que… »
Elle entend :
« Tu es hypersensible : voila ton problème. Une femme normale ne se serait pas sentie blessée parce que j’ai discuté avec de vieux amis. Je ne t’ai rien fait de mal ».
Il dit :
« Je suis vraiment désolé de ce que j’ai dit, mais la façon dont tu m’avais parlé m’avais vraiment offensé. Quand tu dis que… »
Elle entend :
« Rien ne justifiait la façon dont tu m’a parlé. J’ai dit des choses désagréables, mais toi aussi. Et c’est toi qui avais commencé »
Désolé pour les droits de copyright.
Le passage ci-dessous concerne la partie « fiançailles » donc à ne pas utiliser en séduction (ça ferait plutôt AFC) mais c’est pour illustrer un peu la logique féminine, je trouve ça intéressant
Je souhaite donc vous faire partager ma trouvaille de la p145 du livre « Mars et Vénus se rencontrent » :
« [...] Lorsqu’un homme fournit une explication logique, il tient pour acquis que sa compagne retrouvera aussitôt sa sérénité…mais il obtient l’effet opposé ! Elle conclut en effet qu’il refuse tout droit de s’énerver. Or sur Vénus pour que quelqu’un se sente mieux, il faut auparavant avoir l’impression que son partenaire comprend ses motifs de courroux.
Inutile d’attendre qu’elle accepte votre argument sans broncher ; elle a d’abord besoin de discuter de ses émotions. Elle veut qu’on la comprenne ; après seulement, elle sera disposée à pardonner.
Une bonne excuse ne l’intéresse guère : elle préfère constater que l’autre saisit l’ampleur de son agacement.
Voici quelques exemples d’explications martiennes et la façon dont les Vénusiennes pourront y réagir :
Il dit :
« Je suis désolé d’être en retard. Il y’avait un terrible accident sur le pont et beaucoup de circulation. Je suis resté coincé pendant des heures derrière un gros camion. Il faisait une chaleur intenable… »
Elle entend :
« J’ai une bonne raison d’être en retard, donc cela ne devrait pas te mettre dans tous tes états. Tu devrai plutôt être contente que je sois enfin arrivé »
Il dit :
« Je suis désolé de m’être emporté contre toi, mais tu t’es montrée tellement critique…tu as dit que… »
Elle entend :
« Tu m’as critiquée sans ménagements ; c’est toi qui étais en faute ! C’est toi qui devrai t’excuser »
Il dit :
« Je suis désolé de ne pas t’avoir rappelée. J’ai eu un travail fou. Si tu savais le peu de temps qu’on m’accorde pour terminer ce projet : je ne sais pas comment je vais m’en sortir… »
Elle entend :
« Tu ne devrai pas m’en vouloir. Au contraire, tu devrais plutôt me plaindre. J’ai tellement de soucis au bureau… »
Il dit :
« Je suis désolé d’avoir oublié de passer prendre des billets pour le concert de l’orchestre symphonique, mais il fait tellement beau que j’ai pensé que nous pourrions plutôt sortir faire de la voile. Après tout, c’est la meilleure saison pour la voile… »
Elle entend :
« Tu n’a aucune raison de m’en vouloir. Mon choix devrait te convenir »
Il dit :
« Je suis désolé de t’avoir momentanément abandonnée pendant la soirée. Je ne pensais pas que tu te sentiras délaissée. Je discutais avec de vieux amis et je n’avais aucune intention de te blesser. Je pensais que… »
Elle entend :
« Tu es hypersensible : voila ton problème. Une femme normale ne se serait pas sentie blessée parce que j’ai discuté avec de vieux amis. Je ne t’ai rien fait de mal ».
Il dit :
« Je suis vraiment désolé de ce que j’ai dit, mais la façon dont tu m’avais parlé m’avais vraiment offensé. Quand tu dis que… »
Elle entend :
« Rien ne justifiait la façon dont tu m’a parlé. J’ai dit des choses désagréables, mais toi aussi. Et c’est toi qui avais commencé »
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